Dans la matinée du lundi 13 février 2023, une délégation de la Commission électorale nationale indépendante (CENI), conduite par son président, Elysé Ouédraogo a été reçue en audience par le président de la Transition, Chef de l’Etat, Capitaine Ibrahim Traoré. A l’ordre du jour, la remise officielle du rapport d’activités 2021-2022 de la CENI. La démarche répond à une obligation légale, prescrite par le code électoral qui oblige l’équipe dirigeante de la CENI à adresser au Chef de l’Etat, chaque année, un rapport public sur l’exécution de ses missions, conformément aux textes régissant son fonctionnement. C’est pourquoi ce lundi 13 février, Elysé OUEDRAOGO a conduit une délégation composée de commissaires de la CENI et de ses plus proches collaborateurs à la Présidence du Faso.

Le droit de vote constitue l’un des mécanismes essentiels d’expression de la citoyenneté, protégé par l’article 25 du Pacte international des droits civils et politiques (PIDCP). Au Burkina Faso, ce droit est consacré par l’article 12 de la Constitution qui dispose que

« Tous les Burkinabè sans distinction aucune ont le droit de participer à la gestion des affaires de l'Etat et de la société. A ce titre, ils sont électeurs et éligibles dans les conditions prévues par la loi ».

Dès lors, tout citoyen qui remplit les conditions prescrites pour l’exercice de ce droit doit pouvoir exprimer son choix à chaque scrutin. Cependant, pour diverses raisons, certaines catégories de citoyens ont du mal à réaliser cet acte civique.

Le samedi 31 décembre 2022, l’ancien pape Benoît XVI est décédé à l'âge de 95 ans, près d'une décennie après avoir rennoncé à la fonction Papale en raison d'une santé fragile.

La secrétaire générale de la commission électorale nationale indépendante présente ses meilleurs vœux de 2023 à l’ensemble de l’équipe.

A l’occasion du transit de l’année 2022 à celle de 2023, une cérémonie de montée des couleurs nationales a été organisée au sein de la Commission Electorale Nationale Indépendante en vue de la présentation des meilleurs vœux à l’ensemble du personnel de ladite institution le 04 janvier 2023. La S.G a affirmé que l’année 2022 a été très éprouvante tant au plan national par la recrudescence des attaques terroriste mais aussi au niveau de la CENI car toutes les activités prévues n’ont pas eu d’aboutissement.

Le satisfecit général observé à l’issue du séminaire sous régional tenu du 7 au 9 décembre 2022, à Ouagadougou sous le thème : « Processus électoraux et crise sécuritaire en Afrique Sub-saharienne : résilience des organes de gestion des élections » est imputable au comité d’organisation mis en place à cet effet.

Composé de sept (07) commissions, ce comité d’organisation avait pour mission, la mise en œuvre et en cohérence des activités prévue pour la bonne tenue de cette rencontre inédite sous-régionale. Le comité a fait appel à plusieurs personnes ressources interne à la CENI comme issue de différents départements ministériels et institutionnels.

Les commissions, présidées pour la majorité par des Commissaires de la CENI étaient coordonnées par une cellule de coordination dont la présidence a été assurée par Elysé OUEDRAOGO, président de la CENI.

L’organisation de ce séminaire sous-régional à Ouagadougou, au-delà de son caractère inédit, revêt la volonté de la CENI de penser « solutions endogènes ». C’est dans cet esprit que les axes des thématiques du séminaire ont été définit comme suit :

AXE 1 : RISQUES ÉLECTORAUX EN LIEN AVEC L’INSÉCURITÉ 

Cet axe a été consacré aux conséquences de la situation sécuritaire sur les processus électoraux dans un contexte sous-régional marqué ces dernières années par une dégradation du climat sécuritaire. Les élections nationales et locales, dans la mesure où elles se déploient sur toute l’étendue des territoires étatiques, sont entravées par l’impossibilité de se tenir sur tout ou partie de certaines circonscriptions électorales.

Du 7 au 9 décembre 2022, la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) du Burkina Faso a organisé un séminaire régional sur le thème : « Processus électoraux et crise sécuritaire en Afrique sub-saharienne : résilience des organes de gestion des élections ».

Au cours des trois (03) jours de travaux, vingt (20) communications ont été présentées et quatre (04) ateliers ont été facilités par des modérateurs chevronnés. Ces sessions d’une très grande diversité ont fait l’objet d’échanges féconds et ont permis d’une part, de revisiter la situation sécuritaire de l’espace régional et les cycles électoraux qui y ont été conduits entre 2015 et 2021, et d’autre part, de relever les défis et les leviers de résilience pour les prochaines échéances.

Du 7 au 9 décembre 2022, la Commission électorale nationale indépendante (CENI) a organisé un séminaire sous-régional sur le thème « Processus électoraux et crise sécuritaire en Afrique sub-saharienne : résilience des organes de gestion des élections ».

Le 09 décembre 2022;Le Président de la Transition, Chef de l’Etat, le Capitaine Ibrahim TRAORE, a reçu en audience, ce vendredi en fin de matinée, une délégation de présidents d'organes de gestion des élections en Afrique.

Conduite par le Président de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) de notre pays, Elysé OUÉDRAOGO, la délégation a traduit toute sa gratitude au Chef de l’Etat pour l’accompagnement dont la CENI a bénéficié pour l’organisation du séminaire sous-régional sur les processus électoraux face aux crises sécuritaires en Afrique sub-saharienne qui se tient du 7 au 9 décembre dans la capitale burkinabè.

Du 7 au 9 décembre 2022, la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) du Burkina Faso a organisé un séminaire régional sur le thème : « Processus électoraux et crise sécuritaire en Afrique sub-saharienne : résilience des organes de gestion des élections ».

Au cours des trois (03) jours de travaux, vingt (20) communications ont été présentées et quatre (4) ateliers ont été organisés, facilités par des modérateurs chevronnés. Ces sessions d’une très grande diversité et richesse ont fait l’objet d’échanges féconds et ont permis d’une part, de revisiter la situation sécuritaire de l’espace régional et les cycles électoraux qui y ont été conduits entre 2015 et 2021, et d’autre part, de relever les défis et les leviers de résilience pour les prochaines échéances.